
TRAHISON : Macron offre le pouvoir de dissuasion nucléaire français à l’Europe
Dans un geste controversé lors de sa visite d’État en Suède, le 30 janvier, Emmanuel Macron a semblé trahir plus de soixante ans de politique de souveraineté nucléaire française en offrant la capacité de dissuasion nucléaire de la France à l’Union européenne.
Cette proposition, loin d’être une simple évolution diplomatique, marque une rupture profonde avec les principes fondamentaux de la souveraineté et de l’indépendance nationale, chers à la France et à ses citoyens.
En affirmant que les intérêts vitaux de la France sont désormais indissociables de ceux de l’UE, Macron néglige l’importance cruciale de maintenir une force de dissuasion nucléaire autonome, pilier de la sécurité et de la liberté d’action de la France sur la scène internationale.
Cette décision soulève de sérieuses questions quant à l’engagement de Macron envers la France et sa volonté apparente de subordonner des éléments clés de la défense nationale à des intérêts supranationaux.
Pour de nombreux observateurs, et notamment dans les rangs gaullistes, céder une part de cette capacité à l’UE s’apparente à une forme de trahison, mettant en péril la capacité de la France à agir de manière souveraine en cas de crise.
Cette orientation est d’autant plus critiquée qu’elle semble ignorer les leçons de l’histoire et les nécessités stratégiques qui ont toujours guidé la doctrine nucléaire française.
À retenir :
1. Erosion de la Souveraineté
La proposition de Macron menace directement la souveraineté et l’autonomie stratégique de la France, remettant en cause des décennies de doctrine nucléaire fondée sur l’indépendance.
2. Risque pour la Sécurité Nationale
En envisageant de partager le contrôle de la dissuasion nucléaire, Macron expose la France à des risques sécuritaires accrus, diluant la capacité de décision et d’action qui a longtemps protégé les intérêts vitaux français.
3. Abandon des Principes Gaullistes
Cette démarche représente un abandon flagrant des principes gaullistes de défense et de souveraineté, suscitant l’indignation et le rejet parmi ceux qui voient dans l’autonomie de la force de dissuasion nucléaire l’essence même de la puissance et de l’indépendance françaises.
Discours d’Emmanuel Macron en Suède
Le silence de l’armée : une inquiétante passivité ?
En proposant de subordonner le pouvoir de dissuasion nucléaire français à l’Union européenne, Emmanuel Macron n’a pas seulement provoqué une rupture avec la tradition de souveraineté nationale; il a également posé la question du rôle et de la réaction de l’armée française et de son état-major face à ce qui semble être une série de décisions controversées.
Ce geste, perçu comme une trahison, soulève une interrogation majeure :
pourquoi l’armée et l’état-major restent-ils silencieux face à ces actions qui pourraient compromettre l’autonomie stratégique et la sécurité de la France ?
La passivité apparente de l’armée, dans ce contexte, peut être interprétée de plusieurs manières.
D’une part, elle pourrait refléter une discipline professionnelle et une loyauté envers le commandement civil, principes fondamentaux des forces armées dans une démocratie.
D’autre part, elle soulève des inquiétudes quant à l’éventuelle marginalisation des voix militaires dans les décisions stratégiques cruciales pour la nation.
Questions critiques :
1. Dilution de l’Autorité Militaire : Le silence de l’armée face aux décisions de Macron est-il le signe d’une dilution de l’autorité militaire et d’une prééminence accrue du politique sur le stratégique ?
2. Risques de Sécurité Nationale : Quelles sont les implications pour la sécurité nationale si l’armée et l’état-major ne sont pas pleinement engagés ou consultés dans des décisions aussi fondamentales que le partage de la capacité de dissuasion nucléaire ?
3. Responsabilité et Dissidence : Face à ce qui est perçu comme une série de trahisons, quelle est la responsabilité de l’armée et de l’état-major ? Doivent-ils exprimer publiquement leurs préoccupations ou leur dissidence, et si oui, comment ?
Conclusion
Il est crucial d’analyser le rôle de l’armée et de l’état-major dans la préservation de l’intégrité territoriale et de la souveraineté nationale, surtout lorsque des décisions politiques majeures semblent s’éloigner des principes traditionnels de défense et de sécurité.
Leur silence, jusqu’à présent, pourrait bien être un calme avant une tempête de débats internes et de réalignements stratégiques face à une Europe en mutation et à un monde de plus en plus imprévisible.
La proposition de Macron, loin d’être un geste de solidarité européenne, pourrait être perçue comme une capitulation face aux pressions internationales et une méconnaissance des réalités géopolitiques contemporaines, mettant en jeu l’avenir de la sécurité nationale française.
5 Responses
C’est une FORFAITURE, DES TI TU TION
bonjour le gros problème ce n’est plus européisation mais nous sommes déjà dans la mondialisation en France la franc maçonnerie est dans le gouvernement dans la justice la police la gendarmerie et l’armée et nous sommes très liés avec les états unis ce sont eux qu’il faut combattre
Cela s’inscrit parfaitement dans la volonté européenne d’intégrer l’Ukraine, à qui l’Europe va promettre de la protéger, en échange de matière première qui vont enrichir quelques élites, tout ça payé avec l’impôt français. Cherchez les cocus de l’histoire ! Peut-être que cela nous évitera le remboursement de notre colossale dette, mais pas un conflit avec la Russie et d’autres parties du monde !
Toutefois je m’interroge toujours sur la réalité des armes nucléaires, ne serait-ce pas encore un tour de passe passe pour effrayer les peuples qui n’ont qu’à bien se tenir et obéir à la cabale qui mène ce monde!
il faut que la ( ripoux oblique) abattue , et vive le lys de france .
Il est vraiment timbré ce gars, il va aller jusqu’où dans sa folie. Et route ses décisions, sans demander le consentement des français.