
Une gaucho-woko-progressiste du torchon qui s’appelle Libération a écrit ça : Manifeste pour mettre fin à Noël
Avant toute chose, je tiens à préciser que j’ai dû payer 1 euros leur abonnement de clochard, pour avoir accès à ce torchon et bien vérifier que je n’avais pas mal interprété les intentions de l’auteur.
Je vous rassure j’ai annulé l’abonnement dans la foulée.
Je vous retranscris ce torchon ici.
Début de retranscription de l’article source : https://www.liberation.fr/lifestyle/manifeste-pour-mettre-fin-a-noel-20231225_QTEGHIXRU5HLPBVYXTW2RSIQQE/
Après tout, pourquoi se faire du mal ? Entre catastrophes psychanalytiques, désastres écologiques induits par les transports et cadeaux inutiles, quel intérêt y a-t-il à maintenir ces traditions ?
Arrêtons tout : achevons Noël !
Publié le 25 décembre 2023 à 17h46
On vous voit : après vos 25 000 calories quotidiennes depuis trois jours, vous comatez sur votre canapé les yeux mi-clos. A peine arrivez-vous à tenir votre téléphone portable du bout du bras pour parcourir ces lignes, dont la lecture vous fatigue déjà.
Arrêter Noël ? Mais pourquoi ? C’est pénible, mais c’est mignon aussi…
Allez-vous vraiment vous remettre de cette deuxième part de coulommiers garni ? Et que dire de cette tante qui vous assure que la «violence policière, en France, n’est pas disproportionnée et même parfois nécessaire» ? Lecteurs, on s’inquiète.
Avez-vous survécu aux 750 kilomètres de bouchons non prévus par Bison futé après avoir eu l’idée saugrenue de quitter votre domicile pour cette campagne reculée où vous êtes tombés au supermarché local sur vos amis d’enfance devenus comptables agréés et prothésistes dentaires ?
Et puis, le principal : comment s’est déroulée la pièce de théâtre du réveillon ? Avez-vous bien repris la place qu’on attend de vous (la cheffe, le malade, l’intello, l’infirmière, le fou, rayez la mention inutile) ?
Comment s’est passé le petit déjeuner du lendemain, lorsqu’il a fallu serrer les dents en confrontant de nouveau votre tante qui, bien qu’en pyjama, était déjà prête à en découdre sur un sujet litigieux puisque vous avez le malheur d’être le seul gauchiste de la famille ?
Maintenant que l’envie de vous jeter un seau d’eau de Sainte-Soline sur la tronche vous est passée, il est temps de repenser ensemble à notre stratégie des fêtes. Car si Noël est terminé, ce n’est que le début.
Il faudra encore tenir les trois dîners qui vous mèneront jusqu’au nouvel an, avant l’Epiphanie et la Chandeleur. Il suffit d’écouter nos proches pour recueillir le flot d’angoisses que cette période génère.
On pense à ceux et celles qui ne peuvent pas contribuer à la hauteur de leurs familles aux agapes communes mais qui, trop gênés pour l’admettre, préféreront s’endetter pendant des mois.
On pense à ces enfants en garde alternée qui sont privés de l’un ou l’autre de leurs parents à Noël. On pense aux étrangers en France qui ont toutes les raisons d’être tristes, en plus de ne pas être avec les leurs.
On pense à ces jeux censés briser la glace en famille mais qui mettent tout le monde mal à l’aise, comme «Soirée réveillon» qui consiste, en gros, à «dire quelque chose à quelqu’un que tu n’as jamais osé lui dire auparavant» (véridique). «A la fin, tout le monde chialait», raconte un collègue, pris au piège de ce guet-apens.
A ce chaos psychanalytique que représentent les fêtes (sans oublier la catastrophe écologique qu’elles induisent entre empreinte carbone et surenchère de cadeaux inutiles), on ne voit qu’une solution : arrêter tout.
D’abord, c’est un peu curieux de célébrer une naissance à laquelle on ne croit pas en lui superposant un père Noël qui ne tardera pas à être démasqué.
Soyons plus inventifs et révolutionnaires. Mélangeons nos familles et nos amis, hybridons nos fêtes et nos traditions et faisons-le toute l’année.
Déclenchons la grève de ces réjouissances cantonnées entre le 24 décembre et le 2 janvier qui font grimper le prix des choses. Célébrons la vie en dehors de cette période, le plus possible tous les jours et le plus gratuitement possible.
Le voyage immobile reste la meilleure option : si vous devez vous justifier de cette claustration soudaine, l’argument «J’ai le Covid» tient toujours la route mais perd un peu de sa force de persuasion devant les inattaquables «Je suis de perm» ou «J’ai des dossiers à boucler».
Et tandis que nous savourerons notre mensonge, hibernons sur place, comme les animaux que nous sommes et avons besoin d’être. Au réveil, perdons-nous dans la ville, dans les bois, dans l’amour, et mettons fin collectivement à ces rituels souffrants.
Fin de retranscription.
Merci d’avoir lu ce torchon, partagez-le s’il vous a « plu » et donnez-moi vos impressions en commentaires SVP.
6 Responses
Oui, l’enmerdeuse quoi dénoncent la dictature depuis 3 ans,les abus de pouvoirs…, j’ai donné 1 éducation nikel à mon fils concernant le respect de lui et son entourage,courage d’aller au boulot, mais j’ai zappé le côté politique et de l’engagement que ça nécessite. Donc on m’a remballer dès que j’ ai voulu en parler
TROP DUR DE LIRE SE TORCHON !
RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL DES TARRES VEULENT DETRUIRE NOTRE CULTURE ET NOS TRADITIONS… QU’ILS AILLENT AU DIABLE !
Il a de quoi retourner le cerveau… cela fait des années qu’il y a un acharnement médiatique qui fabrique une société de consommation. Je trouve cela triste et ça mets en péril nos coutumes.
Le pire c’est que des personnes sont convaincues que ce torchon est bien, moi je pleure.
Ils on déjà détruite là France et maintenant ils veulent détruite notre culture et nos traditions,Noël restera Noël, qu’ils aillent se faire foutres
Bonjour , j’ai voulu ouvrir le lien de ton mail , mais il fallait que je paie aussi 1€ ?
Evidement je ne l’ai pas fait . De toutes façons c’est bon l’on sait la pourriture qu’est fdevenu ce journal que je lisais dans les années 80/90….
oui l’accès au journal est payant, moi j’ai payé parce que je voulais vraiment lire ce torchon pour être sûr qu’il ne s’agissait pas d’une plaisanterie.